Tu as raison, les manga sont les parents pauvres de la BDs, on les relègue sur une étagère en vrac, où Sakura cotoie HingaJima…
Cela tient de la résponsabilité des vendeurs qui ne connaisent rien à ce médium, les nouveaux livres parlant des mangas, critiqués dans le numéro de novembre, inéptes, n’arrangeront pas les choses…
Souvent même dans les librairies spécialisés les libraires sont incollables sur la BD française, et connaissent vaguement le monde anglo saxon, mais alors le manga, il semble inconnu au bataillon.
Mais l’ignorance, chez des professionnels, n’est pas excusable, surtout devant l’envolée des ventes de manga en occident, (Dragon Ball, est culte aux USA).
A plus sur la banquise.
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